Laissez tomber les pop-corns et les séances de minuit, Paris s’apprête à vivre une révolution où le cinéma ne se regarde plus, mais se danse. Le vendredi 5 avril 2024, le cinéma l’Arlequin, cette institution du 6e arrondissement, se transforme en club éphémère pour une soirée qui promet de faire date dans les annales de la fête parisienne. Le collectif Crescendo est aux commandes, et autant vous dire qu’ils ont l’intention de faire trembler les murs historiques de l’Arlequin avec un cocktail explosif de house, techno et trance.
Le mashup génial que personne n’avait vu venir
Imaginez un instant : les sièges rouges et confortables de l’Arlequin vibrent au rythme des basses, tandis que les stroboscopes s’entremêlent aux projecteurs cinématographiques pour un ballet lumineux hallucinant. Les écrans géants, d’ordinaire réservés aux chefs-d’œuvre du 7e art, diffusent des clips musicaux emblématiques et des visuels psychédéliques. C’est l’expérience sensorielle ultime, un trip audiovisuel où David Lynch rencontre Carl Cox dans une ruelle sombre de Paris.
La playlist qui fait rêver
Aux platines, une brochette de DJs qui ont plus d’un beat dans leur sac. Emma B, Baccus, Augis, et Enflure (oui, vous avez bien lu, Enflure), s’apprêtent à vous emmener dans une odyssée sonore où chaque transition est un voyage. Et dans la salle 3, une overdose de clips musicaux vous attend, de quoi donner une toute nouvelle dimension à l’expression « être devant un écran ».
Parce qu’une soirée d’anthologie ne saurait être complète sans de quoi sustenter les appétits les plus féroces, le bar éphémère de l’Arlequin vous proposera cocktails innovants et hot-dogs gourmet pour les petites faims de 2h du matin. Et pour ceux qui aiment les jeux, une tombola spéciale cinéma et une machine à pinces seront là pour ajouter une couche de fun à l’ensemble.
Pourquoi vous ne pouvez pas manquer ça
Cette soirée n’est pas juste un événement, c’est un statement. Un pied de nez à ceux qui pensent que le cinéma et la musique ne peuvent pas cohabiter, un uppercut dans la figure de la monotonie nocturne parisienne. L’Arlequin, avec son histoire et son charme, devient le théâtre d’une nuit où tout est possible, un lieu de rencontre entre le cinéphile nostalgique et le clubber invétéré.
Alors, si l’idée de voir un des spots les plus iconiques de Paris transformé en temple de la techno vous fait vibrer, ne cherchez plus, vous avez trouvé votre plan pour le 5 avril. L’Arlequin s’apprête à entrer dans la légende des nuits parisiennes, et quelque chose me dit que les échos de cette soirée vont résonner bien au-delà des frontières du 6e. On s’y retrouve ?