Lumière verte sur le tapis rouge
Ça se passait au défilé de la marque AMI Paris et Thierry était clairement l’invitée d’honneur. Ce space odyssey made in France nous a offert un show digne d’une madone dans une robe verte, si transparente que même Superman n’aurait pas besoin de ses rayons X pour nous dire ce qu’il s’y passait en dessous. Non seulement elle affiche fièrement son statut de future maman, mais elle le fait avec une classe tellement mindblowing que même Anna Wintour en aurait presque lâché son légendaire sourcil froncé.
ÉduCatwoman
Toujours sur cette planète people, mais hors du monde du tapis rouge, Mélanie se confiait récemment sur l’éducation de ses deux garçons nés de son amour avec le chanteur Raphaël. En mode mère louve, elle affirme : « Je suis là. Je ne peux pas être plus présente, plus à l’écoute. J’ai l’impression d’avoir une compréhension et quelque chose de totalement fusionnel avec mes gosses quoi. » Une déclaration qui nous donne presque envie de rentrer à la maison pour prendre un chocolat chaud avec nos propres parents… ou de commencer notre propre petite tribu.
Naissance d’une star
Évidemment, pour Thierry et Raphaël, l’arrivée de ce troisième rejeton ne fait que confirmer leur statut de « couple en or » d’un paysage artistique franco-français. Il y a quelque chose de l’ordre du miracle dans cet univers de paillettes où les divorces sont aussi fréquents que les paparazzis au fond du jardin. Ils seront bientôt cinq dans la famille, mais pour eux, c’est tout bon, ils ont encore « un petit peu de temps pour se faire à l’idée« .
Petit à petit, Mélanie Thierry tisse sa toile hollywoodienne… mais pas seulement. En mère exemplaire, en femme insolente de beauté et en talentueuse artiste, notre galactique Mélanie rayonne bien plus que sur le grand écran. La comète Thierry ne cesse de nous étonner, et on ne demande qu’à continuer d’être surpris. Alors, même si je préférerais être au chômage plutôt que d’entendre parler encore une fois de la Fashion Week et des robes de célébrités, je dois admettre qu’avec Mélanie, j’en reprendrai bien une tranche. Encore.
