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Toggleun impôt, c’est comme un bon plat : tout dépend de qui le cuisine
Soyons clairs : l’idée de faire payer les plus riches, c’est comme une petite bombe à retardement qu’on attendait avec impatience d’entendre exploser. Et voilà, boum ! En 2025, c’est leur tour. Jusqu’à présent, on se demandait quand les puissants allaient se faire saigner un peu plus. Bien sûr, ils pleurent déjà sur leurs yachts – des larmes de champagne bien sûr, parce que pourquoi pas ?
Pour comprendre la situation, il faut jeter un coup d’œil sur cette « nouvelle version étendue » de la taxe sur les hauts revenus. Avant, ça concernait ceux qui gagnaient au-delà de 250 000 euros par an. Maintenant ? On va baisser la barre pour englober plus de riches – parce que, surprise, en France, des gens qui gagnent 150 000 balles par an, ça commence à devenir la norme chez nos amis les PDG et autres grands gourous des multinationales. On peut dire merci à la cupidité crasse qui gonfle leurs comptes en banque et la dette nationale en parallèle.
quand la politique fait semblant de mordre, mais manque souvent les crocs
Ce qui est piquant dans tout ça, c’est qu’on pourrait croire que cette nouvelle taxe va révolutionner la société. Eh bien, spoiler : probablement pas. Pourquoi ? Parce que l’histoire nous a appris que ces soi-disant grandes décisions politiques finissent souvent par n’être que des pansements sur des fractures ouvertes. C’est un peu comme repeindre un immeuble en ruine en espérant que ça tienne debout plus longtemps.
On l’a déjà vu avec des mesures similaires par le passé. Prenez l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) par exemple, supprimé en 2018 sous Macron. Le gouvernement nous avait promis que sans cet impôt, les riches investiraient davantage dans l’économie réelle. Résultat ? Un festival d’évasion fiscale et de yachts flambant neufs. Cette nouvelle taxe étendue ? Pas sûr qu’elle leur fasse renoncer à leur dernière Rolex ou à une semaine de ski à Courchevel.
pourquoi cette taxe arrive-t-elle si tard ?
Ce qui est vraiment agaçant, c’est qu’on est en 2024, et on parle encore d’essayer de corriger un système économique qui s’écroule sous son propre poids. La France adore se vanter d’être « le pays de la justice sociale », mais soyons honnêtes : depuis des décennies, on laisse les ultra-riches se barrer avec tout le magot, pendant que les classes moyennes et basses doivent supporter le fardeau fiscal.
Pourquoi cette taxe arrive-t-elle seulement maintenant ? Probablement parce que les politiques réalisent que le ras-le-bol est palpable. On ne peut plus ignorer les gilets jaunes, les mouvements de grèves, les étudiants qui doivent bosser des jobs précaires pour payer leurs études. Alors on se donne bonne conscience avec cette « nouvelle mesure ». Ça ressemble à une sorte d’aveu déguisé : oui, on a été trop indulgents avec les riches, mais ne vous inquiétez pas, on va corriger ça. LOL.
et maintenant, on fait quoi ? On sort le popcorn ?
Bon, maintenant que cette taxe est sur la table, la vraie question est de savoir ce qu’on va en faire. Est-ce que ces recettes supplémentaires iront vraiment là où il faut ? Investir dans l’éducation, la santé, la transition écologique ? Ou est-ce qu’on va simplement les voir disparaître dans le trou noir du déficit public ?
Si l’histoire nous a appris une chose, c’est que les grosses fortunes trouvent toujours des moyens de contourner les règles. L’évasion fiscale est un sport national chez eux. Le gouvernement va devoir jouer serré pour ne pas se retrouver avec une taxe qui rapporte des miettes pendant que les riches continuent de s’engraisser en toute impunité. Ça va être comme regarder un match de tennis, mais avec beaucoup plus d’enjeux et de frustration.
En tout cas, je propose qu’on ne lâche rien. On va surveiller tout ça de près, parce qu’après tout, on n’a plus le luxe d’attendre. On a déjà vu ce film des dizaines de fois, mais cette fois-ci, peut-être que le scénario va enfin nous surprendre.