PSG

par | 24 Jan 2024

Kurzawa, la fin du cauchemar P-A-R-I-S-I-E-N ?

Ecoute, ce n'est pas moi qui vais te dire que la vie de footballeur professionnel est facile. Oh que non ! Entre les entraînements intenses, les pressions pour gagner chaque match et les moqueries des fans quand ton genou décide de te lâcher, autant dire que c'est pas la fête tous les jours. Mais là, notre cher Layvin Kurzawa, 31 ans, latéral gauche du PSG, semble être en train de vivre un truc encore plus moche que la fin de Game of Thrones. Et ça je te jure, c'est pas rien...
Temps de lecture : 2 minutes

Papa, je veux pas rester dans ce club !

Ladite « aventure » de Kurzawa au PSG, c’est un peu comme si t’étais parti en road-trip avec tes potes et que tu te retrouves coincé au milieu du Nebraska parce que la voiture a pété un câble. Kurzawa, ce brave gars qui a coûté un petit 25 millions d’euros aux dirigeants parisiens en 2015, n’a jamais réussi à s’imposer comme un titulaire indiscutable. Un peu comme si t’avais lâché une fortune pour un Picasso pour ensuite le remiser au grenier parce qu’au final, tu préfères tes posters de Che Guevara.

Lui qui avait le monde à ses pieds à Monaco, n’a plus que les sifflets des supporters pour le consoler au PSG. Un comble, vu que même le plus célèbre des détracteurs du capitalisme aurait sans doute préféré taper la balle dans le parc des Princes plutôt que de filer des discours à Cuba.

 

Luis Enrique, cet homme qui ne l’aimait pas

Et si ça ne suffisait pas, la touche finale est venue de Luis Enrique, le nouvel homme fort de l’équipe parisienne. Ce dernier lui a fait comprendre qu’il n’avait pas vraiment sa place dans son équipe. Une déclaration aussi douce et agréable qu’un réveil à 6h du matin après une soirée trop arrosée.

Kurzawa s’est donc retrouvé esseulé, sans club à aimer, avec seulement une belle petite paie pour le consoler (500 000 euros brut par mois, la routine quoi). Mais attention, ne croyez pas que notre homme est du genre à se laisser abattre. Non, non, non. Il a décidé de prendre le taureau par les cornes et de se remettre en selle. D’ici quelques jours, notre héros pourrait bien changer d’air et quitter ce club qui ne l’aime plus.

 

Tout est bien qui finit bien ?

Si les astres s’alignent en sa faveur, Kurzawa pourra dire adieu à cette aventure tumultueuse et embarquer pour de nouveaux horizons. Il pourra réenfiler ses crampons et retrouver l’odeur de la pelouse, le bruit du ballon, l’adrénaline des matchs et surtout, l’amour des fans.

Qui sait, peut-être même qu’on le verra un jour lever une coupe dans un stade plein à craquer, sous les acclamations de la foule ? Et à ce moment-là, il pourra se tourner vers Paris et dire : « Regardez-moi maintenant. » En attendant, bonne chance, Layvin. On espère pour toi que la suite sera plus radieuse. A toi de jouer maintenant.

Tom, rédacteur passionné chez ANousParis 🖋️. Je couvre toute l'actu parisienne - culture, événements, et tendances de la Ville Lumière! 🗼