Désormais en vacances, après une élimination par l’Espagne lors de l’Euro 2024, Khvicha Kvaratskhelia n’a qu’un objectif en tête : enfiler le maillot du Paris Saint-Germain pour la saison prochaine. Oui, tu as bien entendu. Le géorgien qui a dynamité les défenses avec Naples veut maintenant régner sur la Ligue 1.
PSG : Une fascination obsédante
Les supporters du PSG ont les yeux rivés sur Kvaratskhelia depuis le début de l’Euro. Pas étonnant, c’est la cible numéro 1 de Luis Enrique et Luis Campos. Le type a convaincu tout le monde, même son pote Georges Mikautadze. Mais, mon ami, rien n’est simple dans cette histoire.
Imagine un instant le clash entre deux titans : d’un côté, le PSG, puissant, riche, prêt à tout casser ; de l’autre, Aurelio de Laurentiis, le grand manitou de Naples, obstiné, inflexible, refusant de lâcher son joyau. Antonio Conte, le nouveau coach de Naples, lui, se frotte les mains et supplie presque de garder son attaquant.
Une guerre ouverte
Il paraît qu’une délégation napolitaine a même fait un petit tour en Allemagne cette semaine pour causer avec l’entourage de Kvaratskhelia. Mais ce dimanche, c’est De Laurentiis lui-même qui s’est déplacé. Et là, les choses se corsent. Parce que Kvaratskhelia a été clair comme de l’eau de roche : il veut partir.
Notre ami Abdellah Boulma, ce journaliste toujours dans les bons coups, nous le confirme : c’est carrément la guerre entre Kvaratskhelia et De Laurentiis. « Le bras de fer est engagé. On attend le dénouement », nous dit-il. Franchement, on se croirait dans une série Netflix.
L’argument massue : le chèque
Le président de Naples n’est pas à son premier rodéo. Menacer l’attaquant de rester, suggérer une offre de plus de 100 millions d’euros… tout y passe. Mais Kvaratskhelia, ce guerrier géorgien, est inflexible. Il veut Paris.
Et là, on se rappelle de ces transactions passées entre Naples et le PSG : Ruiz, Cavani… Souvent, De Laurentiis a fait monter les enchères, s’est fâché, puis s’est calmé avec un bon gros chèque. Pas si différent d’une diva hollywoodienne, ce De Laurentiis. Pour lui, les millions, c’est un peu comme des Oscars : il en veut toujours plus.
Alors, est-ce que Nasser Al-Khelaifi va pousser le curseur au-dessus des 100 millions d’euros pour cet attaquant qui a brillé à l’Euro ? Tout indique que oui. Parce que le PSG, c’est pas juste un club, c’est une marque, un empire. Et un empire, ça veut les meilleurs.
Et moi dans tout ça ?
Alors voilà, tu me diras que tout ça, c’est juste du business, des chiffres qui donnent le vertige. Mais regarde autour de toi : le foot, c’est pas juste un sport. C’est une religion moderne, un opium pour les masses, une machine à rêves. Kvaratskhelia au PSG, c’est plus qu’un transfert, c’est un événement culturel.
Je suis là, assis, imaginant déjà les dribbles endiablés de Kvaratskhelia sous la Tour Eiffel, les nuits de Champions League où il fera vibrer le Parc des Princes. Ça me donne des frissons.
Alors oui, je suis engagé, je suis passionné. Parce que le foot, c’est pas qu’un jeu, c’est une part de nos vies. Et si Kvaratskhelia signe au PSG, prépare-toi à vivre une saison de folie. Parce que ce gars-là, c’est de la dynamite en crampons.
Et toi, tu sais quoi ? Monte le son, mets tes plus belles sneakers et prépare-toi à voir du grand spectacle. Parce que le foot, c’est ça : du pur, de l’intense, du vécu. Allez, Paris, fais-nous rêver.