par | 25 Avr 2024

Le Belem transporte la flamme olympique 2024 : Une traversée historique de Athènes à Marseille

Suivez l'aventure historique du Belem, de Athènes à Marseille, pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. Ce voyage n'est pas seulement une traversée, c'est une légende en mouvement.
Temps de lecture : 2 minutes

Le Retour du Phénix Nautique

Imaginez un peu le tableau : le Belem, ce vénérable trois-mâts qui a plus d’histoires à raconter que votre grand-père, vient de débarquer en Grèce, prêt à jouer les Phénix des mers. Ce bateau, construit en 1896 — coïncidence historique, l’année des premiers Jeux olympiques modernes — n’est pas juste un navire, c’est un symbole ambulant de la résilience et de l’élégance française. Maintenant, il se prépare à faire ce que peu de bateaux peuvent se targuer de faire : transporter la flamme olympique de Athènes à Marseille. Une traversée qui promet d’être aussi épique que celle d’Ulysse, mais avec moins de monstres et plus de champagne.

Une Symphonie en Trois Mâts

Le départ du Pirée ce samedi sera moins une simple manœuvre maritime qu’une symphonie nautique, où chaque vague rencontrée jouera sa note dans ce grand concert des flots. Le Belem ne fait pas dans la demi-mesure. Il traverse les siècles et les mers avec la grâce d’un danseur de ballet et la robustesse d’un rockeur des années 70. Pensez à Mick Jagger en costume de capitaine — c’est un peu l’esprit.

Le Spectacle des Côtes Italiennes à la Grande Bleue

Le trajet n’est pas juste un transfert de A à B. Non, ce serait trop banal pour notre Belem. Imaginez-le glissant le long des côtes italiennes, une sorte de défilé nautique où chaque port est une ovation. Et quand il arrivera à Marseille le 8 mai, ce ne seront pas moins de 150 000 personnes qui l’attendront, prêtes à accueillir non seulement un bateau, mais une légende. Et oui, parce qu’en France, on ne fait pas que des réceptions, on crée des légendes.

Des Réjouissances plus Attendues que le Dernier Tarantino

L’arrivée du Belem avec la flamme olympique, c’est un peu comme la première d’un film de Quentin Tarantino : tout le monde en parle, tout le monde veut y être. Chaque personne présente se transformera en critique d’un jour, débattant de la majesté du Belem comme ils le feraient d’une scène culte. La fête sera électrique, un peu comme si les Jeux eux-mêmes avaient décidé de faire escale en Provence.

Et après ?

Après cette odyssée, le Belem ne retournera pas simplement à quai pour prendre sa retraite. Oh que non! Ce bateau a plus de vies qu’un chat de gouttière aristocrate. Navire marchand, yacht de luxe, navire école — chaque incarnation est comme une nouvelle saison d’une série à succès. On ne se lasse pas, on attend juste de voir quelle sera sa prochaine aventure.

Alors, que vous soyez un amateur de voile, un passionné d’histoire, ou juste quelqu’un qui aime une bonne histoire bien racontée, gardez un œil sur le Belem. Parce qu’en matière de spectacle, de grâce et de pure badasserie maritime, ce vieux gréement n’a pas son pareil.

N’oublions pas : chaque flamme olympique apporte son lot de promesses, d’inspirations et, osons le dire, de magie. Mais quand elle est transportée par une légende, elle brûle un peu plus fort, éclairant non seulement un stade, mais aussi l’imaginaire collectif. Et pour cela, le Belem mérite tous les applaudissements du monde.

Thomas

Tom, rédacteur passionné chez ANousParis 🖋️. Je couvre toute l’actu parisienne – culture, événements, et tendances de la Ville Lumière! 🗼