par | 25 Juin 2024

Euro 2024 : les Bleus en huitièmes, merci l’Espagne !

Les Bleus sont qualifiés pour les huitièmes de finale de l'Euro 2024, non pas grâce à une victoire éclatante, mais à la défaite de l'Albanie contre l'Espagne. Un match sans éclat, mais avec un résultat qui fait plaisir aux supporters français.
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Hey les footix et les aficionados du ballon rond, si vous avez manqué le match Espagne-Albanie, pas de panique, on va tout vous résumer ici, en direct, sans filtre, et avec un poil d’impertinence. Parce que oui, les Bleus sont qualifiés pour les huitièmes de finale de l’Euro 2024 grâce à… une défaite de l’Albanie. Oui, vous avez bien lu. La France doit dire merci à l’Espagne et surtout à un certain Ferran Torres.

Une soirée digne d’un épisode de Friends

Imaginez un épisode de Friends sans Ross qui se plaint, sans Chandler qui fait une blague, et sans Joey sans manger !

C’est à peu près ce qu’on a eu lundi soir à Düsseldorf. Un match où l’Espagne, déjà qualifiée, et l’Albanie, en pleine galère, nous ont servi une soupe tiède et insipide. Mais bon, on est des passionnés, on regarde quand même.

Ferran Torres, le héros discret

Le seul feu d’artifice de la soirée ? Ferran Torres, qui claque un but à la 13e minute. Une action sortie de nulle part : passe laser d’Aymeric Laporte, déviation géniale de Dani Olmo et Torres conclut en une touche. L’Albanie a tenté de réagir, mais c’était comme essayer de danser la salsa avec une jambe cassée : courageux, mais pas franchement brillant.

La Roja, mode sieste activée

L’Espagne a ensuite décidé de jouer en mode sieste prolongée. Des frappes sporadiques, un rythme de sénateur, et voilà. Ils n’avaient pas besoin de se fatiguer plus que ça. Même quand les titulaires habituels sont entrés en jeu, c’était pour faire de la figuration. Franchement, on aurait dit un film d’auteur français : lent, contemplatif, et un peu chiant.

Les Albanais, des guerriers sans armes

De leur côté, les Albanais ont montré de la volonté, à défaut de talent. Kristjan Asllani a tenté de réveiller les siens avec quelques frappes qui ont fait suer David Raya. Armando Broja a même failli faire vibrer les filets, mais rien à faire, c’était soirée portes closes pour l’Albanie.

Les Bleus disent merci

Alors voilà, grâce à ce match mollasson, les Bleus sont assurés d’être parmi les meilleurs troisièmes, au pire. Oui, on sait, c’est pas glorieux de se qualifier en dépendant des autres. Mais dans le foot, comme dans la vie, parfois il faut savoir dire merci et avancer. Alors, merci l’Espagne !

Une leçon de vie (ou pas)

Ce match, c’est un peu comme cette soirée où tu te fais inviter à une fête qui s’annonce ennuyeuse, mais où finalement tu gagnes à la tombola. T’as rien fait de spécial, mais tu repars avec le gros lot. Les Bleus ont encore du boulot, c’est clair, mais ils sont toujours dans la course. Et c’est ça qui compte.

L’Euro, un spectacle à rebondissements

L’Euro, c’est un peu comme une série Netflix : des épisodes passionnants, des moments de flottement, et des twists inattendus. Et franchement, si cette qualif’ miraculeuse ne nous rappelle pas que le foot est imprévisible et plein de surprises, alors qu’est-ce qui le fera ?

Rendez-vous pour la suite

Maintenant, les Bleus doivent capitaliser sur ce coup de chance et montrer qu’ils méritent leur place. On veut du spectacle, des frissons, des buts. Allez les gars, on y croit ! Et nous, on reste là, à commenter, critiquer, applaudir, parce qu’au fond, on aime ça. Rendez-vous pour les huitièmes, et n’oubliez pas de garder vos cœurs bien accrochés.

Et surtout, n’oubliez pas : le foot, c’est plus qu’un jeu, c’est une passion. À la prochaine, bande de passionnés !

Tom, rédacteur passionné chez ANousParis 🖋️. Je couvre toute l'actu parisienne - culture, événements, et tendances de la Ville Lumière! 🗼